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Créé le : 23/08/2014 14:50
Modifié : 24/03/2015 14:15

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Langage html

24/03/2015 14:15



 

 

 

 

 

 

 


2014-2015

Cours de LABO

 

 

 

 

(HTML et

 

 

JAVASCRIPT)

 

 

 

 

 

Notes de cours de Labo et langage de programmation pour les débutants

 

 

Par  Martin           

       KIIZA

      KIHIKA

 

Gradué en Mathématique et Informatique

                                         markizson@gmail.com

                                             markizson@yahoo.fr

                                              (+243) 9 94 09 68 02

                                              (+243) 8 23 98 21 57

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


       Ensemble, nous ferons des exploits

 


 


PREMIERE PARTIE : LANGAGE HTML

 

PREAMBULE

 

Notre objectif dans l'élaboration de ce support consacré à la création de pages Web et donc au langage Html a été la simplicité de l'exposé et le souci de fournir des bases saines pour une étude et une utilisation plus poussée.

 

Nous n'avons nullement la prétention d'être exhaustif et d'être "LA" référence. Nous espérons cependant vous faire comprendre et apprécier le langage Html et vous donner l'envie d'en apprendre plus au sujet de la publication sur Internet.

 

CHAPITRE I : NOTIONS DE BASE

 

 

 

I.1. La petite histoire

 

 

 

Le terme markup se réfère aux marques, aux annotations

manuscrites placées

par l'auteur sur un document pour préciser

à  l'imprimeur

comment

il  doit

être   présenté.   Avec   l'apparition   des

ordinateurs

et   des

photos-

 

composeuses, ces marques ont été intégrées dans le texte mais chaque matériel de photocomposition réclamait son propre langage "markup" Au début des années 80, le CGA (Graphics Communications Association) a mis au point le premier langage markup généralisé baptisé GenCode. Au même moment, un comité de normalisation ANSI publiait le standard Generalized Markup Language (GML). En décembre 1986, les deux comités ont unis leurs efforts pour définir le standard SGML (Standard Generalized Markup Language) accepté par l'ISO (International Standard Organization) sous le numéro 8879.

 

Jusqu’â 1990 les principales applications Internet étaient le courrier électronique, listserv, telnet et FTP. En 1990 l’université de Mac Gill (Montréal) introduisit ARCHIE, un outil de recherche FTP pour l’Internet. En 991 l’université du Minessota proposa GOPHER.

 

En 1992, Tim Berners-Lee un physicien du CERN, développa les protocoles du World Wide Web. Il créa le HTML, issu d’un sous ensemble du SGML en s’appuyant sur les travaux de Ted Nelson qui furent â l’origine du terme hypertexte (1965).

 

C’est en 1993 que l’explosion de l’Internet eu lieu avec la sortie du navigateur (en anglais "browser") MOSAIC du NCSA.

 

I.1.1 Le SGML

 

Le SGML est un standard ouvert qui n'est lié ni â une plate-forme, ni â un constructeur. Les fichiers SGML sont stockés sous forme de simples textes ASCII et peuvent donc être utilisés par n'importe quelle machine.

 

Le langage SGML est extrêmement pratique pour réaliser des publications â la demande. Le but est de pouvoir, â partir d'un document de base unique, publier différentes versions s'adressant â des publics différents.

 

SGML est un langage de description de données qui divise un document en deux parties : le DTD (Data Type Definition) et les données elles-mêmes. Le DTD est une sorte de dictionnaire qui décrit les différents "tags" acceptés dans le document et les relations qui les unissent. Le corps du document contient les données délimitées par les "tags" définis dans le DTD. Le langage HTML n'est qu'une instance du langage SGML définie par un DTD spécifique. Un document HTML est un simple fichier texte ASCII qui contient des "tags" HTML. Sur un serveur Unix, un document HTML porte généralement l'extension .html tandis que sur les PC, limités â des noms de fichiers de type 8.3, l'extension est .htm. La notion essentielle â bien comprendre avant de se lancer dans la création de pages HTML est que comme tous les langages “markup”, HTML ne se soucie pas de l'apparence d'un document mais bien de sa structure. Chaque navigateur World Wide Web représentera différemment des objets HTML comme la ligne horizontale ou le titre. L'HTML n'imposera jamais une police de caractères, une taille de police ou une largeur d'écran. C'est au navigateur de choisir en fonction de la station d'accueil, de la résolution d'écran, des polices disponibles. Il faudra donc toujours veiller â essayer les pages HTML nouvellement réalisées avec plusieurs navigateurs.

 

Une autre notion â garder en tête est que le langage HTML est en constante évolution, chaque navigateur s'adaptant plus ou moins rapidement â cette évolution.

 

Chaque commande du langage HTML débute par un “<“ et se termine par un “>“. Les commandes peuvent s'écrire en minuscules ou majuscules bien qu'on utilise généralement les caractères majuscules par souci de lisibilité.

 

I.1.2. Évolution du langage

 

Durant la première moitié des années 1990, avant l’apparition des technologies web comme JavaScript, les feuilles de style en cascade et le Document Object Model , l’évolution de HTML a dicté l’évolution du World Wide Web. Depuis 1997 et HTML 4, l’évolution de HTML a fortement ralenti ; 10 ans plus tard, HTML 4 reste utilisé dans les pages web. En 2008, la spécification du HTML 5 est à l’étude.

 

1989 - 1992 : Origine

 

HTML est une des trois inventions à la base du World Wide Web, avec le Hypertext Transfer Protocol (HTTP) et les adresses web. HTML a été inventé pour pouvoir écrire des documents hypertextuels liant les différentes ressources d’Internet avec des hyperliens. Aujourd’hui, ces documents sont appelés « page web ». En août 1991, lorsque Tim Berners-Lee annonce publiquement le web sur Usenet, il ne cite que le langage SGML, mais donne l’URL d’un document de suffixe .html. Dans son livre Weaving the web, Tim Berners-Lee décrit la décision de baser HTML sur SGML comme étant aussi « diplomatique » que technique : techniquement, il trouvait SGML trop complexe, mais il voulait attirer la communauté hypertexte qui considérait que SGML était le langage le plus prometteur pour standardiser le format des documents hypertexte. En outre, SGML était déjà utilisé par son employeur, l’Organisation européenne pour la recherche nucléaire (CERN). Les premiers éléments du langage HTML comprennent le titre du document, les hyperliens, la structuration du texte en titres, sous-titres, listes ou texte brut, et un mécanisme rudimentaire de recherche par index. La description de HTML est alors assez informelle et principalement définie par le support des divers navigateurs web contemporains. Dan Connolly a aidé à faire de HTML une véritable application de SGML.

 

1993 : Apports de NCSA Mosaic

 

L’état de HTML correspond alors à ce que l’on pourrait appeler HTML 1.0. Il n’existe cependant aucune spécification portant ce nom, notamment parce que le langage était alors en pleine évolution. Un effort de normalisation était cependant en cours. À partir de fin 1993, le terme HTML+ est utilisé pour désigner la version future de HTML. Malgré l’effort de normalisation ainsi initié, et jusqu’à la fin des années 1990, HTML est principalement défini par les implémentations des

 

navigateurs. Avec le navigateur NCSA Mosaic, HTML connaît deux inventions majeures. D’abord l’invention de l’élément IMG permet d’intégrer des images (dans un premier temps, uniquement des GIF et des XBM) aux pages web (Mosaic 0.10). Ensuite l’invention des formulaires (Mosaic 2.0pre5) rend le web interactif en permettant aux visiteurs de saisir des données dans les pages et de les envoyer au serveur web. Cette invention permet notamment de passer des commandes, donc d’utiliser le web pour faire du commerce électronique.

 

1994 : Apports de Netscape Navigator

 

Avec l’apparition de Netscape Navigator 0.9 le 13 octobre 1994, le support de nombreux éléments de présentation est ajouté : attributs de texte, clignotement, centrage, etc. Le développement de HTML prend alors deux voies divergentes. D’une part, les développeurs de navigateurs s’attachent à maximiser l’impact visuel des pages web en réponse aux demandes des utilisateurs. D’autre part, les concepteurs du web proposent d’étendre les capacités de description sémantique (logos, notes de bas de page, etc.) et les domaines d’applications (formules mathématiques, tables) de HTML. En ceci, ils suivent les principes de SGML consistant à laisser la présentation à un langage de style. En l’occurrence, les feuilles de style en cascade (CSS) sont prévues pour HTML. Seul le support des tables est rapidement intégré aux navigateurs, notamment parce qu’il permet une très nette amélioration de la présentation. Outre la multiplication des éléments de présentation, les logiciels d’alors produisant et consommant du HTML conçoivent souvent les documents comme une suite de commandes de formatage plutôt que comme un marquage représentant la structure en arbre aujourd’hui appelée Document Object Model (DOM). Le manque de structure du HTML alors mis en œuvre est parfois dénoncé comme étant de la « soupe de balises » en anglais : tag soup.

 

1995 - 1996 : HTML 2.0

 

En mars 1995, le World Wide Web Consortium (W3C) nouvellement fondé propose le résultat de ses recherches sur HTML+ : le brouillon HTML 3.0. Il comprend notamment le support des tables, des figures et des expressions mathématiques. Ce brouillon expire le 28 septembre 1995 sans donner de suites directes. Fin 1995, le RFC 1866 décrivant HTML 2.0 est finalisé. Le principal éditeur est Dan Connolly. Ce document décrit HTML tel qu’il existait avant juin 1994, donc sans les nombreuses additions de Netscape Navigator.

 

1997 : HTML 3.2. et 4.0

 

Le 14 janvier 1997, le W3C publie la spécification HTML 3.2. Elle décrit la pratique courante observée début 1996, donc avec une partie des additions de Netscape Navigator et d’Internet Explorer. Ses plus importantes nouveautés sont la standardisation des tables et de nombreux éléments de présentation. HTML 3.2 précède de peu HTML 4.0 et contient des éléments en prévision du support des styles et des scripts. Le 18 décembre 1997, le W3C publie la spécification HTML 4.0 qui standardise de nombreuses extensions supportant les styles et les scripts, les cadres (frames) et les objets (inclusion généralisée de contenu). HTML 4.0 apporte également différentes améliorations pour l’accessibilité des contenus dont principalement la possibilité d’une séparation plus explicite entre structure et présentation du document, ou le support d’informations supplémentaires sur certains contenus complexes tels que les formulaires, les tableaux ou les sigles. HTML 4.0 introduit trois variantes du format, destinées à favoriser l’évolution vers un balisage plus signifiant, tout en tenant compte des limites temporaires des outils de production :

 

la variante stricte (strict) exclut des éléments et attributs dits « de présentation », destinés à être remplacés par les styles CSS, ainsi que les éléments applet et frame qui sont remplacés par l’élément object réputé plus apte à l’interopérabilité et à l’accessibilité.

 

la variante transitoire (transitional) étend la variante stricte en reprenant les éléments et attributs dépréciés de HTML 3.2, dont les éléments de présentation sont couramment utilisés par les éditeurs HTML de l’époque.

 

la variante frameset normalise la technique des jeux de cadres composant une ressource unique à partir de plusieurs pages web assemblées par le navigateur.

 

Ces variantes perdurent par la suite sans modifications notables en HTML 4.01 et dans le format de transition XHTML 1.0 issu de HTML. La dernière spécification de HTML est la 4.01 datant du 24 décembre 1999. Elle n’apporte que des corrections mineures à la version 4.0.

 

2000 - 2006 : XHTML

 

Le développement de HTML en tant qu’application du Standard Generalized Markup Language (SGML) est officiellement abandonné au profit de XHTML, application de Extensible Markup Language (XML). Cependant, en 2004, des fabricants de navigateurs web créent le web Hypertext Application Technology Working Group (WHATWG) dans le but, notamment, de relancer le développement du format HTML et de répondre aux nouveaux besoins sur une base technologique jugée plus aisément implémentable que celle du XHTML 2.0 en cours de conception. Ceci s’inscrit dans le contexte d’une contestation plus générale du mode de fonctionnement du W3C, réputé trop fermé par une partie des développeurs et designers web.

 

2007 à nos jours

 

En mars 2007, tirant la conséquence des réticences d’une partie de l’industrie et des concepteurs de contenus web face à XHTML 2.0, le W3C relance le développement de HTML et crée un nouveau groupe de travail encadré par Chris Wilson (Microsoft) et initialement Dan Connolly (W3C), maintenant Michael Smith (W3C). Il s’agit notamment :

 

de faire évoluer HTML pour décrire la sémantique des documents mais aussi les applications en ligne ;

 

de parvenir à un langage extensible via XML tout en maintenant une version non XML compatible avec les parseurs HTML des navigateurs actuels ;

 

et d’enrichir les interfaces utilisateurs avec des contrôles spécifiques : barres de progrès, menus, champs associés à des types de données spécifiques.

 

Les travaux du WHATWG ont été formellement adoptés en mai 2007 comme point de départ d’une nouvelle spécification HTML 5. Ce document a été publié sous forme de Working Draft le 22 janvier 2008. Parmi les principes de conception évoqués par le groupe de travail figurent en particulier :

 

la compatibilité des futures implémentations HTML avec le contenu web existant, et la possibilité pour d’anciens agents utilisateurs d’exploiter les futurs contenus HTML 5 ;

 

une approche pragmatique, préférant les évolutions aux modifications radicales, et adoptant les technologies ou pratiques déjà largement partagées par les auteurs de contenus actuels ;

 

la priorité donnée, en cas de conflit d’intérêt, aux besoins des utilisateurs sur ceux des auteurs, et par suite, à ceux des auteurs sur les contraintes d’implémentation par les navigateurs ;

 

le compromis entre la richesse sémantique du langage et l’utilité pratique des solutions disponibles pour remplir l’objectif majeur d’indépendance envers le media de restitution.

 

Une Accessibility Task Force est créée par le W3C en novembre 2009 afin de résoudre les problèmes de compatibilité du nouveau format avec les normes d'accessibilité, liés notamment à l'implémentation d'ARIA, aux alternatives textuelles et aux nouveaux éléments canevas et vidéo.

 

Le développement de XHTML 2.0 est initialement poursuivi en parallèle, en réponse aux besoins d’autres secteurs du web, tels que les périphériques mobiles, les applications d’entreprise et les applications serveurs. Puis, en juillet 2009, le W3C décide la non-reconduction du XHTML 2 Working Group à la fin 2009.

 

I.2. Définition :

 

HTML (HyperText Markup Langage) est d'un langage de description (et non pas d'un langage de programmation) qui va nous permettre de décrire l'aspect d'un document, d'y inclure des informations variées (textes, images, sons, animations etc.) et d'établir des relations cohérentes entre ces informations grâce aux liens hypertextes.

 

En d'autres termes, HTML est un ensemble (réduit) de balises (ou styles ou "tags") utilisés pour définir les différents composants d'un document.

 

I.3. Les premiers outils

 

I.3.1. Vous avez besoin :

 

  • d'un éditeur de texte tout simple comme par exemple le Bloc-notes ou Notepad de Windows ou tout autre équivalent dans votre système d'exploitation.

 

  • d'un browser soit Netscape Navigator (payant) que vous pouvez cependant télécharger gratuitement au site de Netscape (http://home.netscape.com) ou sur les CD de certains mensuels informatiques soit Microsoft Explorer (gratuit également) à télécharger (http://www.microsoft.com) ou dans les revues.

 

I.3.2 Vous n'avez pas besoin:

 

  • d'être connecté pour écrire, voir et peaufiner vos pages Html.

 

  • d'avoir le dernier éditeur Html sans doute performant mais coûteux qu'il sera toujours temps d'adopter lorsque vous aurez usé vos petits doigts sur vos premières pages. Nous pensons à Claris Home Page, Frontpage de Microsoft, Hotdog,

Hotmetal, WebExpert ou Netscape Editor ainsi qu'aux dizaines d'autres éditeurs que vous rencontrerez sur le Web.

 

I.3.3. Conseils

 

Le langage Html étant un ensemble de balises et d'attributs, il nous paraît utile sinon indispensable de les passer en revue et surtout de les visionner au moins une fois car :

 

  • si les éditeurs Html vous faciliteront grandement la tâche, ils ne sont pas toujours parfaits surtout lors des modifications, annulations ou suppressions en cours de travail. Il vous faudra bien alors vous plonger dans le code source pour corriger les dysfonctionnements.

 

  • les codes source de vous pages préférées sont disponibles (et sans copyright). Il est alors possible de s'en inspirer pour reprendre le procédé sans avoir à réinventer le monde.

 

  • ces mêmes éditeurs Html vous proposeront des termes comme" En-tête, Heading, Cell spacing, Numered List..." qui sont propres au langage Html.

 

  • vous aurez besoin d'une connaissance pointue du Html pour inclure les codes du Javascript ou du VBscript dans vos pages.

 

I.4. Présentation des Editeurs HTML

 

Un éditeur HTML (ou éditeur Web) est un logiciel conçu pour faciliter la préparation et la modification de documents écrits en Hypertext markup language (HTML). Un document HTML est le principal composant d'une page Web. Il existe deux catégories d'éditeur :

 

Les éditeurs tel-tel (WYSIWYG) Les éditeurs de texte

 

L'édition des images, des animations ou du son sont effectuées avec les logiciels appropriés. Un éditeur HTML ne sert qu'à disposer ces ressources dans une page Web.

 

I.4.1. Quelques Editeurs

 

I.4.1.1 Les WYSIWYG

 

Claris Home

 

Assurément une bonne pointure. Convivial et très complet, il gère les frames et les formulaires. Son outil de gestion des images est super complet. Ce qui est moins le cas pour l'élaboration des tableaux. Existe en version française. Un tout bon! www.filemaker.com

 

WebExpert

 

Editeur en français. Très complet. Inclus même quelques animations en Javascript. Offre une librairie des balises sous forme de fichier d'aide en français (très pratique). Peut être le plus convivial du moment. www.visic.com

 

Netscape Editor

On n'est jamais si bien servi que par soi-même. Excellente prévisualisation et la rapidité du passage en mode browser fera le régal des petites machines. La gestion des tableaux est on ne peut plus précise.

 

Cependant il n'est pas complet car il lui manque les frames et les formulaires. En outre méfiez-vous car certaines balises ne sont pas reconnues par Microsoft Explorer. Existe en version française. home.netscape.com

 

Front Page

 

Un très bon produit Microsoft. Donne vraiment l'impression d'utiliser un traitement de texte. Très complet. Simule également un serveur. Très gourmand comme beaucoup (trop?) de produits de la marque. Existe en français. www.microsoft.com

Dreamweaver

 

Un éditeur étrange venu d'ailleurs. Conception très visuelle, très graphique de la page par incorporation des éléments comme pour une présentation multimédia. Très complet. A mon avis, Dreamweaver est réservé aux utilisateurs experts en publication Html. Débutants s'abstenir. N'existe qu'en anglais. www.dreamweaver.com

PageMill

 

Bien mis à jour dans sa version 3.0, on n'a pas grand chose à lui reprocher sinon son manque de séduction. Pourquoi pas mais pourquoi lui?

 

www.adobe.com

 

Les autres...Que nous ne connaissons que de nom. HotMetal - www.sp.com

 

Aol Press - www.aolpress.com

 

Backstage Designer - www.macromedia.com Incontext Spider

 

etc.

 

I.4.1.2 LES EDITEURS CLASSIQUES

 

HotDog

 

La référence dans cette catégorie. D'aucuns continuent à préférer les versions de la série 2 à celles de la série 3 et 4, plus lourdes et au graphisme tapageur. Un excellent outil, très complet et bien mis à jour. www.sauvage.com

 

HTML Notepad

 

Editeur simple, compact et complet. Proche des balises, il vous fait distinguer entre les balises Netscape et Microsoft Explorer. Idéal pour "chipoter" dans le code source. Notre petit chouchou. www.cranial.com/software/htmlnote

 

Les autres...

 

 

Bloc-note, Notepad+,WebEdit / HTMLed / HTML Assistant Pro / Dida / EdWin / Html Builder / Html Editor /WSKA HTML / Web-It / WebThing / Webmania /

 

Almost Reality / HtmlPad ... et bien d'autres encore que  vous  pouvez  découvrir  en  lançant  les Yahoo, Lycos, Alta Vista sur une recherche avec pour objet "Html Editor".

 

 

I.5. Allure d’un fichier HTML ou squelette d’un fichier HTML

 

 

 

 

 

 

<!-- commentaire --> <!DOCTYPE>

 

<HTML>

<HEAD>

<TITLE>

</TITLE>

</HEAD>

 

<BODY>

 

 

 

 

<BODY>

 

</HTML>

 

Commentaires

 

Les commentaires peuvent être placés n'importe où dans un document HTML â condition de ne pas être imbriqués. Ils sont placés entre les chaînes de caractère

 

<!-- et -->.

 

Exemple :

<!-- Ceci est un commentaire -->

 

DocType

 

DocType est une directive SGML permettant d'identifier un document comme étant de type HTML Cette commande est facultative. La plupart des navigateurs n'en ont pas besoin même s'il est de bon ton pour un éditeur HTML de placer en tête de document une commande de type.

 

Exemple :

 

Avec Netscape 3.0 GOLD

 

<!DOCTYPE HTML PUBLIC "-//W3C//DTD HTML 3.2//EN">

 

HTML

 

C’est le premier marqueur ou tag que l’on trouve dans un document HTML. Tout le document qui sera écrit par la suite (texte ou marqueur) sera compris entre le tag <HTML> et </HTML>.

 

Exemple :

 

<HTML>

 

Document à écrire </HTML>.

 

En-tête <HEAD>

 

L'en-tête  du  document  est  réservé  aux  méta-informations  (les  informations

relatives au document) comme son titre. Ces méta-informations doivent être placées entre les tags <HEAD> de début et </HEAD> de fin. Même si l’en-tête est optionnelle, il est important de l’inclure dans un document pour éviter que le logiciel serveur n’ait â balayer tout le document pour y retrouver l’information recherchée.

 

Titre <TITLE>

 

<TITLE>                        Titre

 

</TITLE>

 

Chaque document HTML, pour être correct, doit disposer d’un titre. Le titre apparaît le plus souvent dans la barre de titre du navigateur Web. Son but est de pouvoir identifier le document dans un ensemble plus large comme un index WATS par exemple. Le titre d’un document HTML sert aussi lorsqu’un navigateur World Wide Web dispose d’une fonction “hotlist” ou “bookmark” pour fournir un accès rapide à vos documents favoris.

 

Le titre est limité â 64 caractères y compris les espaces et ne doit normalement contenir que les 128 premiers caractères ASCTT (pas de caractères accentués)

 

Corps du document <BODY>

 

Le corps du document, ce qui sera effectivement affiché par le navigateur Web, est balisé par les commandes :

 

<BODY> et </BODY>

 

Exemple : <BODY> <P>

 

Ma première page. </BODY>

 

</P>

 

Voici donc â quoi ressemblera un document minimal ainsi que sa représentation dans un navigateur Web :


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I.6. Site Web

 

I.6.1. Définition

 

Un site Web est un ensemble de pages Web hyperliées entre elles et mises en ligne à une adresse Web. On dit aussi site Internet par métonymie, le World Wide Web reposant sur Internet.

 

Un site web est composé d'un ensemble de documents structurés, nommés pages web, stockés (hébergés) sur un ordinateur (serveur) connecté au réseau mondial (internet).

 

Une page web contient essentiellement du texte, et est souvent enrichie d'images, de sons, de vidéos et de liens vers d'autres pages web.

 

I.6.2. Histoire

 

Le « World Wide Web » (www) a été créé en 1990 par l’ingénieur du CERN Tim Berners-Lee. Le 30 avril 1993, le CERN annonce que le « World Wide Web » sera libre d’utilisation pour tout le monde.

 

Avant l’introduction de l’HTML et HTTP, d’autres protocoles tels que FTP et Gopher étaient utilisés pour obtenir des fichiers depuis un serveur. Ces protocoles offraient une organisation basique de répertoires dans lesquels l’utilisateur naviguait et choisissait les fichiers à télécharger. Les documents étaient principalement des fichiers texte sans mise en page ou des fichiers encodés par un traitement de texte.

 

I.6.3. Création

 

Pour créer un site Web, il faut :

 

  1. élaborer la structure (arborescence), le contenu des pages Web et la présentation ;

 

  1. héberger le site sur un serveur Web continuellement connecté à Internet ;

 

  1. Réserver et gérer un nom de domaine (l’adresse Web à laquelle le site est accessible).

 

La création d'un site peut être confiée à une agence Web ou faite soi- même. Pour développer un site Web soi-même, il est possible d'utiliser un éditeur de pages Web ; pour les développeurs Web avertis, un simple éditeur de texte peut suffire. On peut aussi avoir recours à un système de gestion de contenu.

 

I.6.4. Rôle du site

 

Le monde évolue. Dans la vie quotidienne, internet est devenu aussi indispensable que la télévision, le téléphone, le réfrigérateur, etc. Lorsque vous arrivez sur un site web, c'est dans un but précis : trouver les réponses à vos questions, partager, communiquer, s'amuser.

L'ère numérique implique l'accès à l'information en direct, répondant au besoin du tout et tout de suite. Une page web contient des informations, généralement pour informer ou faire connaître.

 

Dans le cadre d'une utilisation privée, une page web permet par exemple de communiquer et de partager des ressources telles que des photos, des vidéos, des messages, etc. Pour accéder à ces ressources, il suffit d'être connecté sur internet, n'importe où dans le monde.

 

Les entreprises, quant à elles, auront tendance à vouloir développer leur image et notoriété, et utiliser leur site web comme support de diffusion d'information et de publicité : cela consiste à présenter l'entreprise, son activité et ses produits. C'est le meilleur rapport qualité/prix par excellence pour être visible par l’ensemble de la planète.

 

L'intérêt d'un site web est de pouvoir être vu par tout le monde. Son potentiel, quel que soit l'usage qu'on en fait, est illimité. Pour votre entreprise, un site web, c'est faire du marketing ciblé à moindre coût, mettre en avant votre image et affirmer votre présence sur le réseau internet. C'est surtout une façon de démontrer votre capacité d'ouverture et d'évolution : les possibilités sont illimitées en terme de différenciation, de marketing et de séduction des visiteurs.

 

I.6.5. Contenus des sites

 

Naviguer sur le web, c'est comme se promener dans une jungle infinie. On n'en voit jamais le bout tellement il y a de sites web, et on y trouve absolument de tout !

 

N'importe qui peut publier de l'information sur le web. Il existe des sites web personnels, des sites web d'entreprise, et même des sites web gouvernementaux. Selon le rapport fin 2008 de Netcraft, il existe près de 186 millions sites web accessibles gratuitement à travers le monde, et ce chiffre ne cesse de croître.

 

Pour trouver une information dans l'immensité du web, il suffit d'utiliser un moteur de recherche, un annuaire, un portail ou tout service qui référence des sites web.

 

I.6.6. Evolution des sites

 

Le nombre de sites Web est en progression constante : (source : Netcraft)

 

Nombre des sites Web consultables par année

 

Année

Nombre

1995

19 000

1997

1 000 000

2000

10 000 000

Février 2003

35 863 952

2004

57 000 000

2005

74 000 000

2006

101 000 000

2007

155 000 000

2008

186 000 000

novembre 2009

207 316 960

février 2010

233 636 281

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

avril 2011

 

312 693 296

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

CHAPITRE II : LE LANGAGE HTML

 

 

 

 

II.1. Quelques règles simples pour l'écriture en langage HTML

 

Les commandes HTML ont une marque de début et une marque de fin Certaines marques de fin sont facultatives

 

Les commandes HTML utilisent les caractères < et > comme délimiteurs. Exemple :

 

<TITLE>Cette commande donne un titre au document HTML</TITLE>

 

Les commandes HTML peuvent être écrites en minuscules ou en majuscules. Un fichier rédigé en HTML doit être suffixé par .html ou .HTML.

 

II.2. Traitement du Texte

II.2.1. Les délimiteurs - H.T.M.L.

 

Dans le texte que vous tapez, les espaces et les retours à la ligne ne sont pas interprétés par les clients WWW.

 

Les délimiteurs permettent d'aérer et de formater le document.

 

<P>

 

<P>

 

</P> (inutile) Saut de paragraphe

<P ALIGN> </P>

 

Cette extension permet d'aligner suivant différents modes le paragraphe qui suit :

 

ALIGN=LEFT (par défaut)

 

Le paragraphe est cadré à gauche. ALIGN=CENTER

 

Le paragraphe est centré. ALIGN=RIGHT

 

Le paragraphe est cadré à droite.

 

Exemples :

<P ALIGN=CENTER>

 

Pour centrer un paragraphe.<BR> Facilement.<BR>

 

Sans se poser trop de questions.<BR> </P>

 

Pour centrer un paragraphe.

Facilement.

 

Sans se poser trop de questions.

<P ALIGN=RIGHT>

 

Pour cadrer à droite<BR> Facilement.<BR>

Sans se poser plus de questions.<BR> </P>

 

<DIV>

 

<DIV>

 

</DIV> Division de bloc

<DIV ALIGN=>

 

</DIV> Cette commande permet de cadrer un bloc de texte.

 

 

 

 

Diffère de la commande <P>

 

par l'absence de saut de ligne en début et fin de bloc.

 

 

ALIGN=

 

Ce paramètre permet d'aligner suivant différents modes le bloc qui suit : o ALIGN=LEFT (par défaut)

 

Le bloc est cadré à gauche.

 

o  ALIGN=CENTER

 

Le bloc est centré.

 

o  ALIGN=RIGHT

 

Le bloc est cadré à droite.

 

Exemple comparatif des commandes <DIV> et <P>

 

<HR>

 

<DIV ALIGN=CENTER> Pour centrer un bloc.<BR> Facilement.<BR>

 

Sans se poser trop de questions.<BR> </DIV>

 

<HR>

 

<P ALIGN=CENTER>

 

Pour centrer un paragraphe.<BR> Facilement.<BR>

Sans se poser trop de questions.<BR> </P>

 

<HR>

 

 

Pour centrer un bloc.

Facilement.

 

Sans se poser trop de questions.

 

 

Pour centrer un paragraphe.

Facilement.

 

Sans se poser trop de questions.

 

 

 

 

<BR>

 

<BR>

 

</BR> (inutile) Saut à la ligne

 

<BR CLEAR>

 

</BR> Cette extension permet d'annuler les alignements précédents, en particulier lors du positionnement d'une image dans le texte.

 

<HR>

 

<HR>

 

</HR> (inutile) Insertion d'une ligne horizontale de séparation Exemples :

Après cette ligne un saut de paragraphe<P> Après celle-ci un saut à la ligne simple<BR> sur la ligne suivante.

 

<HR>Ce texte est encadré par deux lignes horizontales<HR> Après cette ligne un saut de paragraphe

Après celle-ci un saut à la ligne simple sur la ligne suivante.

 

 

 

Ce texte est encadré par deux lignes horizontales

 

 

 

 

<HR SIZE NOSHADE WIDTH> Cette extension augmente l'épaisseur du trait horizontal.

 

SIZE=+n

 

L'épaisseur du trait est augmenté de n fois. NOSHADE

 

Par défaut le trait horizontal a une ombre. Cette option permet d'obtenir un trait plein.

WIDTH=n%

 

La largeur de la ligne vaut n% de la largeur nominale.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

ALIGN : fait un alignement de la ligne suivant les 3 possibilités : CENTER, LEF, RIGHT. Le paramètre ALIGN a un effet que lorsque la longueur de la ligne est inférieure â 100 %.

 

Exemple :

 

<HR WIDTH=75%> trace une ligne sur 75% de la largeur de la fenêtre. <HR SIZE="5"> trace une ligne d’épaisseur 5 pixels.

 

<HR WIDTH=75% ALIGN=LEFT> trace une ligne sur 75% de la largeur de la fenêtre avec un alignement â gauche.

 

Une ligne ...

<HR>

 

Une ligne noire !!!

<HR NOSHADE>

 

Une ligne 4 fois plus épaisse ...

<HR SIZE=+4>

 

Une autre ligne 7 fois plus épaisse et de taille réduite ...

 

<HR SIZE=+7 WIDTH=50%>

 

<MULTICOL>

 

<MULTICOL COLS= GUTTER= WIDTH=>

 

</MULTICOL> Cette commande permet de formater un paragraphe sur plusieurs colonnes.

 

COLS=

 

Ce paramètre définit le nombre de colonnes GUTTER=

 

Ce paramètre permet d'affiner l'espacement entre les colonnes, (par défaut : GUTTER=10).

 

WIDTH=

 

Ce paramètre définit la largeur en pixel du multicolonnage.

 

Exemple :

 

<MULTICOL COLS=2 GUTTER=10 WIDTH=470> Certains hommes n'ont que ce qu'ils méritent, les autres sont célibataires (Sacha GUITRY) <P>

 

C'est bien agréable d'être important,

 

mais c'est bien plus important d'être agréable. <P>

 

Explique-moi l'ignorance et l'apathie ? J'en sais rien et je m'en fiche.

 

<P>

Il existe deux méthodes éprouvées

 

pour écrire des programmes sans erreur. Seule la troisième marche réellement. </MULTICOL>

 

 

LISTE DE DESCRIPTION

 

 

<DL> </DL>

 

Début et fin de liste de description <DT>

</DT>

 

Nom du terme <DD>

 

</DD>

 

Description du terme défini Exemples :

<DL>

 

<DT>Premier terme</DT> <DD>Description du premier terme<BR>

Cette description peut continuer à la ligne suivante<BR> ainsi de suite ...</DD>

 

<DT>Second terme</DT> <DD>Description du second terme</DD> </DL>

 

Premier terme

Description du premier terme

 

Cette description peut continuer à la ligne suivante ainsi de suite ...

Second terme

 

Description du second terme

 

II.2.2. Les styles - H.T.M.L.

 

Les titres de paragraphes peuvent êtres visualisés en fonction de leur importance. Ils sont représentés par des fontes de caractères de différentes tailles, de la plus grande à la plus petite en voici un exemplaire de chaque.

 

<H1>Une très grande taille</H1> Une très grande taille <H2>Une grande taille</H2> Une grande taille

 

<H3>Une taille moyenne</H3> Une taille moyenne <H4>Une petite taille</H4> Une petite taille

<H5>Une très petite taille</H5> Une très petite taille

 

<H6>Une taille vraiment minuscule</H6> Une taille vraiment minuscule

 

Les caractères peuvent recevoir les attributs suivant :

 

Pour barrer du texte. <STRIKE> ou <S> </STRIKE> ou </S>

 

Exemple :

 

C'est <STRIKE>BEAU et barré</STRIKE> C'est BEAU et barré

Pour souligner du texte. <U>

 

</U> Exempl:

Ceci <U>n'est pas un lien</U> Ceci n'est pas un lien

Pour faire clignoter du texte. <BLINK>

 

</BLIN> Exempl:

C'est <BLINK>MAGIQUE</BLINK> !!!

 

C'est MAGIQUE !!!

 

Pour défiler du texte

 

<MARQUEE> Texte </MARQUEE> : cette commande est accompagnée par l’attribut direction pour définir le sens du défilement. («UP","DOWN","LEFT","RIGH"T)

 

Pour intégrer du texte formaté dans une phrase. <TT>

 

</TT> Exempl:

Ceci est une phrase contenant un <TT>texte formaté</TT> Ceci est une phrase contenant un texte formaté

 

Cas d'un paragraphe formaté. Il est inutile de forcer des césures de lignes. Le texte apparait tel que vous le saisissez.

 

On utilise la commande suivante : <PRE>

 

</PRE> Exempl:

Sous DOS tapez les commandes suivantes <PRE>

 

C :> MKDIR WINSOCK C :> CD WINSOCK

 

C :> COPY A: WINSOCK.ZIP C: C :> PKUNZIP -D WINSOCK

 

</PRE>

 

Sous DOS tapez les commandes suivantes

 

 

C :> MKDIR WINSOCK

C :> CD WINSOCK

 

C :> COPY A: WINSOCK.ZIP C:

 

C:> PKUNZIP -D WINSOCK

 

Les styles physiques

 

  • Pour mettre du texte en gras <B>

 

</B>

Exemple :

<B>Texte gras</B>

 

Texte gras

 

  • Pour mettre du texte en italique <I>

 

</I> Exemple :

<I>Texte en italique</I>

 

Texte en italique

 

o  Pour mettre du texte en exposant

&





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